
vendredi 28 décembre 2007
Dessine moi un mouton

jeudi 27 décembre 2007
SCRABBLE quand tu nous tiens
lundi 24 décembre 2007
Noël quand même
lundi 17 décembre 2007
J'aime pas le foot !

Moi et les mecs en rouge on a couru vers le fond du terrain et on a rentré le ballon dans les buts.
Les mecs en bleu ont couru vers l'autre côté et ont rentré le ballon dans nos buts.
Ca a duré une heure et demi et puis on a compté le nombre de fois etc...
Les bleus avaient couru plus souvent que nous vers les buts et on avait perdu.
C'est dégueulasse!
Si on avait été plus souvent vers leurs buts on aurait gagné!
Du coup on va licencier notre entraineur.
jeudi 6 décembre 2007
J'aime pas Noël


dimanche 4 novembre 2007
Impasse

samedi 3 novembre 2007
Révons

De batracien bouffeur de mouches
Ma calvitie aux quatre vents

vendredi 2 novembre 2007
C'est chouette...

dimanche 23 septembre 2007
Nos vieux livres d'histoire

mercredi 19 septembre 2007
Le potironnier
Chataignes et noix
mercredi 12 septembre 2007
SCRABBLE

mardi 11 septembre 2007
L'Elfe

dimanche 9 septembre 2007
Juste une PUB
vendredi 7 septembre 2007
De la mort des célébrités

On mesure en effet la puissance de la famille concernée à la quantité de décibels produits.
Quand une princesse se crashe contre un pilier, ou que Pavarotti rejoint le choeur des anges, nul besoin de rameuter les chialeuses de service, les bobos pleurent gratuitement derrière les barrières de sécurité, de préférence en bonne vue des caméras des télévisions nationales.
Personnellement, je n'arrive jamais à verser une larme sur une célébrité disparue. Je réserve cette attention à mes proches et ce, en toute discrétion.
La Callas meurt, et alors, il me reste ses enregistrements et je ne regrette que les opéras qu'elle aurait pu ajouter à son répertoire.
Alain Delon meurt, et alors, il reste quelques films à visionner. (Comment ça il n'est pas mort!).
Je meurs, et alors, qu'est ce que ça peut vous faire, vous n'étes ni ma mère, ni ma femme, ni mes enfants, ni mes créanciers.
Vous dites?
jeudi 6 septembre 2007
La Hulotte

mercredi 5 septembre 2007
Poème de la rentrée des classes

mercredi 15 août 2007
Le luxe

lundi 6 août 2007
De l'admiration...

mercredi 1 août 2007
Le voleur démasqué

mardi 10 juillet 2007
Quand il pleut...
En ce mois de juillet pluvieux, si vous habitez à la campagne, chaussez vos bottes et enfilez vos anoraks. Les escargots sont de sortie et il est autorisé de les ramasser depuis le 1er juillet.
Ces jours ci, j'en ai cueilli près de 400, bourgognes et petits gris, qui batifolaient dans les chemins creux de Brissarthe.
Si vous n'étes pas des habitués de cette cuisine, sachez qu'il n'y a rien de plus simple à préparer:
- D'abord un jeune de 5 jours au moins.
- Puis on les saupoudre de gros sel et on attend une nuit.
- Nettoyage à grande eau de tout ce qu'ils ont regurgité.
- Supplice de Jean l'Evangéliste, c'est à dire plongeon dans l'eau bouillante pendant sinq minutes.
- Décoquillage des bébêtes (Personnellement, j'enlève l'extrémité noire du tortillon).
- Cuisson 70 à 90 minutes dans un court bouillon.
- Stérilisation en bocaux dans leur jus ou congélation.
dimanche 1 juillet 2007
Les parasites

Mon militantisme s'arrête aux bornes de mon jardin, entre mon coin de compostage et les taillis sauvegardés pour les oiseaux.
Je ne me pose pas de question quant à la localisation à droite ou à gauche de ces actes civiques. Vous voyez ce que je veux dire?
Je laisse des noisettes aux écureuils, des cerises aux oiseaux, des fleurs aux abeilles et mon chat en errance.
Dans mon étang il y a une famille de ragondins qui, en toute quiétude, sape les berges et mon moral.
Tous ces petits animaux prélèvent autour de ma maison ce que j'appelle la part des anges.
Il n'y a que les taupes qui ne trouvent pas gràce à mes yeux. J'avoue que je les pourchasse de ma vindicte. Il faut dire qu'elles sont particulièrement attachées à mes gazons.
Ce ne sont même pas des taupes modèles, elles s'habillent toutes en noir.
D'ailleurs, à part mes doigts , je n'attrape jamais rien avec les pièges que je tends.
Heureusement que je ne compte pas sur mes prises pour donner l'heure car je ne suis pas prêt de dire:
*

vendredi 29 juin 2007
George Sand et Alfred de Musset

Je suis très émue de vous dire que j'ai
bien compris l'autre soir que vous aviez
toujours une envie folle de me faire
danser. Je garde le souvenir de votre
baiser et je voudrais bien que ce soit
la une preuve que je puisse être aimée
par vous. Je suis prête a montrer mon
affection toute desinteressee et sans cal-
cul, et si vous voulez me voir aussi
vous dévoiler sans artifice mon âme
toute nue, venez me faire une visite.
Nous causerons en amis, franchement.
Je vous prouverai que je suis la femme
sincère, capable de vous offrir l'affection
la plus profonde comme la plus étroite
en amitié, en un mot la meilleure preuve
que vous puissiez rêver, puisque votre
âme est libre. Pensez que la solitude où j'ha-
bite est bien longue, bien dure et souvent
difficile. Ainsi, en y songeant j'ai l'âme
grosse. Accourez donc vite et venez me la
faire oublier par l'amour ou je veux me
mettre.

mardi 26 juin 2007
Melocotton et Boule d'Or

J'en sais rien, viens!
Papa il a une grosse voix,
Tu crois qu'on saura parler comme ça?
J'en sais rien, viens, donne moi la main .
Melocotton, Mémé elle rit souvent, tu crois qu'elle est toujours contente?
J'en sais rien, viens, donne moi la main .
Perinelle est grande presque comme Maman, pourquoi elle joue pas avec moi?
J'en sais rien, viens, donne moi la main .
Christophe il est grand mais pas comme Papa, pourquoi?
J'en sais rien, viens, donne moi la main .
Dis Melocotton, tu crois qu'ils nous aiment?
Ma p'tite Boule d'Or, j'en sais rien, viens, donne moi la main .
Cette chanson, avec la voix de Colette Magny, me donne des frissons.
Quand j'écoute les chansonnailles de certaines de nos vedettes modernes j'ai le poil tout hérissé!
Dis Melocotton tu veux bien me prendre la main? J'ai peur!

Pour écouter cette chanson allez sur ce site:
vendredi 22 juin 2007
Poisson chat

dimanche 17 juin 2007
Les ombres

vendredi 15 juin 2007
Les cagouilles et le Roi
Il n'y a rien à gagner.
un souverain honni, qui observait de ses tourelles,
un peuple habillé de poussière.
Gros mangeur depuis sa naissance,
le roi dépouillait ses sujets
de tout ce qui pouvait satisfaire
son appétit.
Puis il cachait dans ses greniers,
ce que son estomac n'avait pu engloutir.
Le rusé souverain ouvrait bien ses placards,
mais c'était pour nourrir des soldats faméliques.
La troupe ainsi gardait toutes ses provisions,
assurée d'en manger quelques maigres portions.
En bas, dans les chaumières,
les souris et les rats étaient devenus rares
et bien que tous les chats aient fini en rôtis,
ils se méfiaient des hommes,
prompts à les estourbir et à les mettre en sauce.
Lorsque le roi sortait,
dans son carrosse en forme de garde manger,
il jetait aux enfants, apeurés et malingres,
quelques poignées de blé, afin qu'ils se disputent.
Les pauvres marmousets se jetaient sur le sol
et grattaient de leurs ongles cette maigre pitance.
Merci, devaient ils dire, sous peine de payer,
à coups de martinets,
ce qu'ils avaient mangé.
Tout aurait perduré, dans ce monde parfait,
si le roi ne s'était pas un peu ennuyé.
Repu de ses chapons, saucisses et brochets,
il perdait l'appétit et frôlait la déprime.
Son cuisinier Cobuse tentait bien quelques mets,
riches et raffinés,
mais le roi repoussait les plats et nourrissait
ses chiens et ses valets.
Cobuse était inquiet.
Il avait inventé des sauces et entremets,
des croûtes et pâtés, épicés et dorés.
Mais le royal convive refusait de manger.
Le médecin mandé fut perplexe longtemps et puis il déclara :
« il vous faut innover ».
Le cuisinier zélé plongea dans ses grimoires.
Il décolla des pages souillées de vieilles sauces,
il déchiffra des langues à jamais disparues.
Le soir, il s'endormait sur des parchemins gris,
et s'éveillait matin, honteux et déconfit.
Enfin, il eut un songe et partit en campagne
avec tous les soldats munis de grands paniers.
Les paysans s'enfuirent ou fermèrent leur huis
mais nul ne vint heurter sur le bois de leurs portes.
La troupe défila et disparut au loin,
dans les vallons herbeux de la forêt profonde.
Un enfant les suivit, mandaté par les gueux.
A son retour il dit « ces gens quêtent cagouille ! ».
En langage local on donne aux escargots
ce nom, qui sonne bien, puis on les écrabouille.
Le peuple s'apeura, la famine parfois
les poussait à gober les baveuses bestioles.
Si le roi les mangeait, que leur resterait t’il,
hormis les cancrelats et les vers de la terre.
Leurs craintes étaient fondées.
Après quelques semaines,
il ne resta plus rien de la gent escargouille.
Les hérissons eux-mêmes, ils en sont fort friands,
émigrèrent au loin faute de nourriture.
Or, c'était un gibier que le peuple pouvait
mettre à son ordinaire.
De rares les repas devinrent mensuels
et les fermiers songèrent à croquer leurs marmots.
Cobuse s'en moquait, il tenait sa surprise
et dans un lieu secret préparait un repas
dont le roi ne pourrait dire qu'il était las.
Toute la valetaille, armée de courts ciseaux,
guettait les pauvres bêtes
et quand elles sortaient leurs cornes circonspectes,
coupait au ras des chairs l'organe déployé.
Il fallut près d'un mois pour collecter de quoi
préparer plusieurs pots de ce caviar de roi.
Mais, quand le cuisinier déposa sur la table
les cornes épicées d'une huile de violette,
le roi battit des mains et de nouveau, mangea !
Or, pendant ce temps là, aveugles et souffrants,
les animaux blessés erraient dans les soupentes.
Guidés par un vieux borgne, épargné pour moitié,
ils cherchaient un moyen de regagner les prés.
Le hasard du parcours les conduisit au roi.
Il dormait bienheureux dans son grand lit de bois
et digérait béat les yeux des pauvres bêtes.
Une issue abusa le vieux guide blessé.
La troupe douloureuse y força son chemin.
En gluante mêlée elle investit la bouche,
un estomac très vaste et des boyaux profonds.
On trouva au matin le corps couvert de glaires.
Le mauvais souverain n'avait pu se défaire
de la gangue visqueuse enrobant son gosier.
Ce fut là son trépas et le peuple fêta
la fin de cet émule de Gargantua.
Et c'est depuis ce jour, qu'il faut de la patience,
pour voir enfin sortir du front de la bestiole,
deux antennes fragiles et ténues qui flageolent.
Et pour terminer cette visite en bonne compagnie allez donc sur le site de Cagouille ..... : http://cagouille.canalblog.com/
Généalogie
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Un Normand, très sournois, a profité du fait qu'il avait enlevé sa côte de mailles en raison de la chaleur ( en réalité pour satisfaire un besoin naturel..) pour lui décocher une flèche.
Comment je sais que c'est mon grand père?
Par pur calcul.
Si je veux faire ma généalogie jusqu'à cette époque, cela fera environ 50 générations d'aïeux à retrouver.
Pour chaque génération il faut le double des aïeux de la génération précédente, 1, 2, 4, 8, 16,32,64,126,............, 1 125 900 000 000 000 ancêtres, à une vache près.
Comptez vous mêmes si vous ne me croyez pas!
Donc, comme à cette époque ils devaient être, sur la terre entière, moins de un milliard, tous les habitants de la terre sont mes ancêtres et les votres (du moins ceux qui ont procréé s'entend...).