J'ai ouvert un livre cette semaine qui a accompagné tous mes loisirs.
Certains souriront du retard apporté à la lecture d'un ouvrage aussi édifiant que "Le bachelier", de Jules Vallés, mais tant pis, j'assume.
C'est la première fois que je suis marqué ainsi par une oeuvre. Elle m'a rasséréné dans sa démonstration qu'il ne peut être de plus pitoyable état que celui de ces pauvres du XIXème siècle, non secourus, affamés, méprisés.
Je n'en dirai pas plus. Lisez le et s'il vous reste une part d'affectif, vous comprendrez ce que j'écris aujourd'hui!
Lisez le vous dis je !
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