Nous vivons dans un monde incroyablement mal géré par ces gens que nous mettons au pouvoir.
Ils dépensent nos impôts sans discernement et lèvent les bras aux ciels quand nous nous en étonnons. D'astucieux voyous profitent de cette impéritie et s'engouffrent dans les failles du système. Nous sommes comme ces nuages d'anchois autour desquels tournent des barracudas. Les anchois qui gravitent en bordure du nuage se font gober par les prédateurs tandis que ceux qui se sont réfugiés au centre en réchappent. Mais c'est là un monde mouvant dans lequel les anchois du centre finissent par graviter en bordure et vice versa. En réalité c'est la méthode qui est mauvaise mais les anchois ne veulent pas en changer.
Prenons par exemple les modes de prise en charge des situations de détresse en matière de logement.
Une famille de deux adultes et cinq enfants est à la rue. Elle s'adresse à une quelconque mairie de banlieue parisienne qui la reloge dans un hôtel. L'hôtel facture trois ou quatre chambres, à 30 ou 40€ la journée, ce qui fait en gros 3000 à 4000€ par mois, payés par les services sociaux de la mairie. Ca, c'est le premier acte.
Dans la réalité, l'hôtelier case tout ce petit monde dans une seule chambre et perçoit quand même ce pactole public.
Puis il pâsse au second acte. Il loue plusieurs studios en se faisant passer pour le futur occupant. Payant, rubis sur l'ongle, les loyers de ces studios, il y loge, sans prévenir les propriétaires, les familles qui lui sont adressées par la mairie. Plus il a de studios, plus il gagne d'argent puisqu'il touche toujours les 3000 ou 4000€ .
En règle générale, les services sociaux des mairies ne vérifient rien, trop heureuses de se débarrasser du problème. Pourtant, ce système ne fonctionne que sur la base des fausses factures établies par l'hôtel.
Si la mairie louait directement les studios elle économiserait plus de 70% de cette dépense mais, bon, ça c'est trop simple. Personne ne s'étonne non plus du fait qu'un hôtel de 20 chambre accueille plus de cent personnes.
L'arnaque rapporte des millions d'Euros. Elle fonctionne si bien que les vieux hôtels délabrés de la petite couronne sont désormais rares et chers à l'achat.
Pourquoi ne met on pas ces voyous dans un logement de 6 m2, avec deux ou trois autres détenus, histoire de leur montrer ce qu'est la promiscuité? Pourquoi ne leur pique t'on pas les quelques millions d'Euros qu'ils ont détournés. Mystère!
Ils dépensent nos impôts sans discernement et lèvent les bras aux ciels quand nous nous en étonnons. D'astucieux voyous profitent de cette impéritie et s'engouffrent dans les failles du système. Nous sommes comme ces nuages d'anchois autour desquels tournent des barracudas. Les anchois qui gravitent en bordure du nuage se font gober par les prédateurs tandis que ceux qui se sont réfugiés au centre en réchappent. Mais c'est là un monde mouvant dans lequel les anchois du centre finissent par graviter en bordure et vice versa. En réalité c'est la méthode qui est mauvaise mais les anchois ne veulent pas en changer.
Prenons par exemple les modes de prise en charge des situations de détresse en matière de logement.
Une famille de deux adultes et cinq enfants est à la rue. Elle s'adresse à une quelconque mairie de banlieue parisienne qui la reloge dans un hôtel. L'hôtel facture trois ou quatre chambres, à 30 ou 40€ la journée, ce qui fait en gros 3000 à 4000€ par mois, payés par les services sociaux de la mairie. Ca, c'est le premier acte.
Dans la réalité, l'hôtelier case tout ce petit monde dans une seule chambre et perçoit quand même ce pactole public.
Puis il pâsse au second acte. Il loue plusieurs studios en se faisant passer pour le futur occupant. Payant, rubis sur l'ongle, les loyers de ces studios, il y loge, sans prévenir les propriétaires, les familles qui lui sont adressées par la mairie. Plus il a de studios, plus il gagne d'argent puisqu'il touche toujours les 3000 ou 4000€ .
En règle générale, les services sociaux des mairies ne vérifient rien, trop heureuses de se débarrasser du problème. Pourtant, ce système ne fonctionne que sur la base des fausses factures établies par l'hôtel.
Si la mairie louait directement les studios elle économiserait plus de 70% de cette dépense mais, bon, ça c'est trop simple. Personne ne s'étonne non plus du fait qu'un hôtel de 20 chambre accueille plus de cent personnes.
L'arnaque rapporte des millions d'Euros. Elle fonctionne si bien que les vieux hôtels délabrés de la petite couronne sont désormais rares et chers à l'achat.
Pourquoi ne met on pas ces voyous dans un logement de 6 m2, avec deux ou trois autres détenus, histoire de leur montrer ce qu'est la promiscuité? Pourquoi ne leur pique t'on pas les quelques millions d'Euros qu'ils ont détournés. Mystère!
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